Aya Kōda

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Aya Kōda
Biographie
Naissance
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Tokyo (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 86 ans)
IshiokaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom dans la langue maternelle
幸田文Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
japonaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Romancière, essayiste, écrivaineVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
Enfant
Tama Aoki (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Distinctions
Prix Shinchōsha de littérature ()
Prix de littérature féminine ()
Prix de l'Académie japonaise des artsVoir et modifier les données sur Wikidata

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Aya Kōda (幸田 文, Kōda Aya?) est une essayiste et romancière japonaise, née le à Tokyo et morte le à Ishioka. Elle est la deuxième fille du romancier Kōda Rohan de l'ère Meiji.

Biographie

Aya Kōda est née à Tokyo. Elle perd sa mère à l'âge de 5 ans puis plus tard son petit frère et sa petite sœur. Elle étudie à l'école pour femmes de Tokyo (Joshigakuin). Elle se marie à 24 ans, mais divorce après 10 ans et retourne avec sa fille, Tama, pour vivre avec son père. Durant la Seconde Guerre mondiale, elle aide son père à conserver son emploi, ainsi qu'il est rapporté dans Koishikawa no Ie (小石川の家, « La Maison à Koishikawa ») de Tama Aoki. Ses premières œuvres, écrites quand elle avait 43 ans, sont les mémoires de la vie avec son père; elles comprennent Chichi (父, « Mon Père ») et Konna koto (こんなこと, « Une pareille affaire »). Reçus comme les écrits d'une fille dévouée, ils obtiennent un succès critique.

Ses récits ultérieurs, romans et essais explorent la vie des femmes, la famille et la culture traditionnelle. Ils comprennent le roman de 1955 Nagareru (Flowing), adapté au cinéma, ainsi que des essais tels que Kakera (« Fragments ») et Mono Iwanu Issho no Tomo (« Un ami pour la vie »), et des nouvelles dont Hina (« Les Poupées ») et Kunsho (« La Médaille »). Elle est lauréate du prix Yomiuri en 1955 pour Kuroi suso.

Sa fille Tama Aoki et sa petite-fille Nao Aoki sont également écrivaines.

Liste des œuvres traduites en français

  • Le Kimono noir, dans Anthologie de nouvelles japonaises contemporaines (Tome II), nouvelle traduite par Marc Mécréant, Gallimard, 1989.
  • Les Poupées, dans La Famille - Anthologie de nouvelles japonaises contemporaines Tome 4, nouvelle traduite par Jean-Jacques Tschudin, Éditions du Rocher, 2009.

Adaptations au cinéma

Notes et références

  • (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Aya Kōda » (voir la liste des auteurs).

Liens externes

  • "Aya Koda: Feminist and dutiful daughter", by Donald Richie, The Japan Times, Tuesday, Jan. 18, 2000.

  • Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généralisteVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Dictionnaire universel des créatrices
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